« Nous travaillons étroitement avec une référente mandatée par l’ARS qui réalise un audit sur la situation actuelle. Nous comptons sur la solidarité de médecins qui pourraient apporter une aide ponctuelle » dit Fréd. Delange (de l’APSIG). Laurence Gourinchas a proposé de venir une fois par mois pour faire une garde de 48 heures. Le maire souhaite une forte mobilisation et se dit prêt à écrire au préfet.
le Télégramme 05/12/21
Complément d’info :
Un médecin cette semaine, deux du vendredi 10 au mercredi 15 et un ensuite + la garde du WE
Les urgences sont devenues la poubelle de la médecine de ville car les gens qui ne trouvent plus de médecins généralistes viennent se faire examiner ici. Il y a aussi d’autres spécialités qui, quand quelque chose ne va pas ou pour avoir accès au plateau technique nous renvoient leurs patients. Il y a des familles qui ne gèrent plus leurs anciens à domicile et sans avoir de place dans des structures de repos, se « déchargent » en les envoyant aux urgences. Bref nous sommes les seuls spécialistes à ne pas « choisir » nos patients. Nous ne pouvons pas les renvoyer, difficilement les réorienter alors il faut les voir, les examiner même si leur motif de venue n’a rien « d’urgent »...
C’est la fin d’un système par épuisement de ses protagonistes, (...)
La Bretagne compte 96 % de primo vaccinés mais 6 000 personnes de plus de 80 ans ne le sont toujours pas. 2,6 millions de Bretons sont appelés à une troisième dose et 420 000 l’ont déjà réalisée. En Bretagne, la vaccination est toujours plus avancée sur le littoral que dans les terres Le directeur de l’ARS : « ce mardi matin. le seuil d’incidence est à 212, avec 20 000 nouveaux cas ces quatre dernières semaines. »
L’opposition se penche longuement sur le problème des pistes cyclables sur l’île.
C’est bien entendu un sujet de la plus haute importance et l’on comprend qu’elle le traite prioritairement à ceux concernant la prise en charge des vieillards ! La municipalité organise leur vaccination, c’est déjà bien, ça leur évitera de mourir de la Covid mais pour survivre dans quelles conditions ... faut pas trop en demander ! (...)
Le ministère rappelle également l’importance de la conservation des habitats naturels pour les pollinisateurs comme les prairies, pelouses calcaires, landes et zones humides. Il prévoit un cadrage national à l’attention des préfets pour que ces derniers prennent « toutes les mesures de nature à empêcher leur destruction, leur altération ou leur dégradation ».
"Nous devons répondre à la désertification médicale de manière courageuse"". Nous avons voté, avec l’Assemblée nationale, le principe que des internes en troisième année effectuent six mois de formation dans des territoires sous-denses. Pour qu’ils restent dans ces zones. Mais le décret n’est pas sorti ! ! Parce que nous avons peur de la grève des internes !" Gérard Larcher veut bousculer.
Sous-préfet et police ont mené une opération de contrôle du passe sanitaire dans les bars de Lorient. Le taux d’incidence (de 150 à Lorient) était à 47 il y a trois semaines. Le message est en particulier adressé aux 25-45 ans, qui fréquentent davantage les bars et les restaurants. « Pour cette tranche de population, le taux est de 165. Ce sont aussi les personnes les moins vaccinées », rappelle le sous-préfet.
Les députés ont retiré l’amendement qui conditionnait le conventionnement des jeunes médecins libéraux à six mois d’exercice obligatoire en zone sous-dotée. Les syndicats d’internes et de jeunes médecins avaient dénoncé une mesure qui ne rendait pas service à la médecine libérale, craignant l’abandon des spécialités de premiers recours au profit de spécialités hospitalières, non-soumises à l’amendement voté par le Sénat.
Cette mesure s’applique sur tout le territoire du département, pour toute personne de 11 ans et plus, dans les lieux suivants : sur les marchés de plein air, les marchés de Noël, les brocantes, les braderies, les trocs et puces, les vide-greniers, les ventes au déballage ; aux abords, dans un rayon de 50 mètres, des gares routières, ferroviaires et maritimes aux heures d’arrivée et de départ des transports en commun ; aux abords, dans un rayon de 50 mètres, des écoles, collèges et lycées ; dans toute file d’attente constituée sur l’espace public (...)
De nombreux professionnels de santé témoignent de leur désarroi face à une nouvelle vague de Covid-19, dont sont principalement victimes des personnes non vaccinées.
Tous les soignants interrogés s’offusquent de la désinformation propagée par une minorité sur Internet, qui entraîne des conséquences dramatiques. « Les malades non vaccinés dans mon service sont avant tout des victimes de cette désinformation répandue par des criminels sur les réseaux sociaux, peste Stéphane Gaudry. C’est à eux qu’il faut en vouloir, pas aux malades qui ont été abusés. »
Le curseur se déplace vers ceux qui « vont vouloir révolutionner la vieillesse comme ils ont révolutionné la société il y a trente ans ». Cela oblige à sortir la question du vieillissement du seul domaine « médico-social ». Pour appréhender les questions de logement, de lien social, d’urbanisme, etc. Les maires acquiescent. « Les gens doivent vivre et pas seulement être accompagnés à cause de leur dépendance ».
.../... David Plans, auteur principal de l’étude et chercheur à l’université d’Exeter au Royaume-Uni, a expliqué qu’il était possible que les personnes se couchant tôt ou tard manquent de repères importants tels que la lumière du jour , qui aide à réguler sa propre horloge biologique. Si cette dernière n’est pas réglée correctement à long terme, (...)
Les « cafés mortels » proposent à des inconnus de se réunir dans un lieu convivial pour échanger autour du thème de la mort. « Ce premier contact a permis de constater que l’on se posait les mêmes questions » : Quelles démarches entreprendre ? « Il faudrait élaborer une charte des bonnes pratiques qui permette de coordonner les différents services », déclare cet infirmier en retraite.
Les équipes du Groupe hospitalier Bretagne Sud participent à la semaine de la dénutrition du 12 au 20 novembre 2021. L’équipe des médecins et des diététiciennes du service est présente dans l’ensemble des services du GHBS. Au sein du GHBS, l’instance du Clan a pour missions d’améliorer la prise en charge nutritionnelle. L’alimentation est surveillée sur plusieurs jours
Les établissements médicaux publics français ont perdu un quart de leur capacité d’accueil, selon les données de la Drees. Dans certains départements ruraux, ce nombre a même été presque divisé par deux depuis 2000. Pour avoir un lit d’hospitalisation opérationnel, il faut du matériel mais aussi le personnel pour s’en occuper. R Bocher pointe "un manque d’attractivité pour le métier de soignant, faute de rémunération et avec des horaires à rallonge".
Pour Jean-François Cibien, cette baisse du nombre de lits a des conséquences directes sur la prise en charge des patients, (...)
Un programme de prévention de la santé par le sport et la nutrition
Ce programme est ouvert à tous et gratuit
Seule condition : s’engager à suivre deux cycles de 5 séances de marches et de participer aux ateliers nutritions et aux conférences
inscription soit par mail soit par sms soit à la maison de santé mercredi 10 novembre de 10h à 11h
Contact Valérie Felsemberg 07 86 28 36 70
Proposés par l’APSIG à l’Ancre de la Marine, mardi 9, de 18 h à 20 h. À Groix, l’idée de créer un "café mortel" a germé lors d’une réflexion collective au cours d’une formation organisée pas l’association Les semeurs de santé. Cette démarche également encadrée par l’ARS est soutenue par une mutuelle. Ce rendez-vous devrait être suivi de neuf autres dans des lieux différents.
Depuis de nombreuses années, je suis le témoin indigné de la casse du service public hospitalier en général et de celui de psychiatrie en particulier.
Depuis le début de la pandémie, je suis le témoin indigné de la démonstration par la situation réelle des effets de la casse en question sur l’hôpital.
Depuis que la pandémie fait moins parler d’elle, je suis le témoin indigné des effets cumulés de la pandémie et de la déconstruction du service public hospitalier.
En effet, les soignants de tous les statuts professionnels fuient en masse le service public (...)
.../...Pour commencer : l’hôpital. Ses qualités et ses défauts. Le principal défaut étant l’acceptation permanente de travailler dans des conditions matérielles et humaines de plus en plus dégradées. Aujourd’hui pour espérer que quelque chose bouge, il faut être dans un axe prioritaire de la direction et que les étoiles s’alignent. Les caisses sont vides, et j’ai honte quand je vois certains équipements sur lesquels je travaille (...)