Accueil > Guérir
Guérir
Lors du premier confinement, on les applaudissait chaque soir à 20 heures pour célébrer leur dévouement, leurs soins toujours recommencés à une société bouleversée par l’épidémie. C’était même le bienheureux signe d’appartenance à une communauté atteinte par la maladie. On ne les applaudit plus aujourd’hui. On s’est trop habitué à leurs soins. Or nos infirmiers, nos infirmières sont épuisés. Exploités par un système qui ne prend pas assez en compte leur absolu engagement
F Pascaud Télérama 22/02/22