Sous-préfet et police ont mené une opération de contrôle du passe sanitaire dans les bars de Lorient. Le taux d’incidence (de 150 à Lorient) était à 47 il y a trois semaines. Le message est en particulier adressé aux 25-45 ans, qui fréquentent davantage les bars et les restaurants. « Pour cette tranche de population, le taux est de 165. Ce sont aussi les personnes les moins vaccinées », rappelle le sous-préfet.
Les députés ont retiré l’amendement qui conditionnait le conventionnement des jeunes médecins libéraux à six mois d’exercice obligatoire en zone sous-dotée. Les syndicats d’internes et de jeunes médecins avaient dénoncé une mesure qui ne rendait pas service à la médecine libérale, craignant l’abandon des spécialités de premiers recours au profit de spécialités hospitalières, non-soumises à l’amendement voté par le Sénat.
Cette mesure s’applique sur tout le territoire du département, pour toute personne de 11 ans et plus, dans les lieux suivants : sur les marchés de plein air, les marchés de Noël, les brocantes, les braderies, les trocs et puces, les vide-greniers, les ventes au déballage ; aux abords, dans un rayon de 50 mètres, des gares routières, ferroviaires et maritimes aux heures d’arrivée et de départ des transports en commun ; aux abords, dans un rayon de 50 mètres, des écoles, collèges et lycées ; dans toute file d’attente constituée sur l’espace public (...)
De nombreux professionnels de santé témoignent de leur désarroi face à une nouvelle vague de Covid-19, dont sont principalement victimes des personnes non vaccinées.
Tous les soignants interrogés s’offusquent de la désinformation propagée par une minorité sur Internet, qui entraîne des conséquences dramatiques. « Les malades non vaccinés dans mon service sont avant tout des victimes de cette désinformation répandue par des criminels sur les réseaux sociaux, peste Stéphane Gaudry. C’est à eux qu’il faut en vouloir, pas aux malades qui ont été abusés. »
Le curseur se déplace vers ceux qui « vont vouloir révolutionner la vieillesse comme ils ont révolutionné la société il y a trente ans ». Cela oblige à sortir la question du vieillissement du seul domaine « médico-social ». Pour appréhender les questions de logement, de lien social, d’urbanisme, etc. Les maires acquiescent. « Les gens doivent vivre et pas seulement être accompagnés à cause de leur dépendance ».
.../... David Plans, auteur principal de l’étude et chercheur à l’université d’Exeter au Royaume-Uni, a expliqué qu’il était possible que les personnes se couchant tôt ou tard manquent de repères importants tels que la lumière du jour , qui aide à réguler sa propre horloge biologique. Si cette dernière n’est pas réglée correctement à long terme, (...)
Les « cafés mortels » proposent à des inconnus de se réunir dans un lieu convivial pour échanger autour du thème de la mort. « Ce premier contact a permis de constater que l’on se posait les mêmes questions » : Quelles démarches entreprendre ? « Il faudrait élaborer une charte des bonnes pratiques qui permette de coordonner les différents services », déclare cet infirmier en retraite.
Les équipes du Groupe hospitalier Bretagne Sud participent à la semaine de la dénutrition du 12 au 20 novembre 2021. L’équipe des médecins et des diététiciennes du service est présente dans l’ensemble des services du GHBS. Au sein du GHBS, l’instance du Clan a pour missions d’améliorer la prise en charge nutritionnelle. L’alimentation est surveillée sur plusieurs jours
Les établissements médicaux publics français ont perdu un quart de leur capacité d’accueil, selon les données de la Drees. Dans certains départements ruraux, ce nombre a même été presque divisé par deux depuis 2000. Pour avoir un lit d’hospitalisation opérationnel, il faut du matériel mais aussi le personnel pour s’en occuper. R Bocher pointe "un manque d’attractivité pour le métier de soignant, faute de rémunération et avec des horaires à rallonge".
Pour Jean-François Cibien, cette baisse du nombre de lits a des conséquences directes sur la prise en charge des patients, (...)
Un programme de prévention de la santé par le sport et la nutrition
Ce programme est ouvert à tous et gratuit
Seule condition : s’engager à suivre deux cycles de 5 séances de marches et de participer aux ateliers nutritions et aux conférences
inscription soit par mail soit par sms soit à la maison de santé mercredi 10 novembre de 10h à 11h
Contact Valérie Felsemberg 07 86 28 36 70
Proposés par l’APSIG à l’Ancre de la Marine, mardi 9, de 18 h à 20 h. À Groix, l’idée de créer un "café mortel" a germé lors d’une réflexion collective au cours d’une formation organisée pas l’association Les semeurs de santé. Cette démarche également encadrée par l’ARS est soutenue par une mutuelle. Ce rendez-vous devrait être suivi de neuf autres dans des lieux différents.
Depuis de nombreuses années, je suis le témoin indigné de la casse du service public hospitalier en général et de celui de psychiatrie en particulier.
Depuis le début de la pandémie, je suis le témoin indigné de la démonstration par la situation réelle des effets de la casse en question sur l’hôpital.
Depuis que la pandémie fait moins parler d’elle, je suis le témoin indigné des effets cumulés de la pandémie et de la déconstruction du service public hospitalier.
En effet, les soignants de tous les statuts professionnels fuient en masse le service public (...)
.../...Pour commencer : l’hôpital. Ses qualités et ses défauts. Le principal défaut étant l’acceptation permanente de travailler dans des conditions matérielles et humaines de plus en plus dégradées. Aujourd’hui pour espérer que quelque chose bouge, il faut être dans un axe prioritaire de la direction et que les étoiles s’alignent. Les caisses sont vides, et j’ai honte quand je vois certains équipements sur lesquels je travaille (...)
France2 1/11/21 21.05
Paul Vidal, médecin de campagne, prend connaissance des messages de ses patients. Tous ont une tonalité identique et sonnent comme des appels de détresse. Une litanie de douleur, d’angoisse et de désarroi qui le plonge dans une profonde mélancolie. Malgré une vie de famille heureuse, il est au bord du burn-out.
Alors que les patients ne cessent de se multiplier (...)
Vieillir chez soi plutôt qu’en établissement est un idéal souvent exprimé dans les enquêtes "mais se posent alors les questions de l’adaptation des logements et des soins en cas de perte d’autonomie", insistent témoins et spécialistes. Le gouvernement français a annoncé lundi le lancement d’un projet pour la création d’ici 2026 de 500 habitats « inclusifs » pour personnes âgées au cœur des petites villes.
Le territoire national est à UTC +2 (c’est-à-dire deux heures de plus que l’universal time coordinated, l’heure de référence internationale) en été et UTC +1 en hiver.
Les chronobiologistes mettent régulièrement en garde l’opinion contre une trop grande désynchronisation entre lumière du jour et heure de l’horloge. "En imposant à l’horloge biologique un rythme qui n’est pas celui de la nature, on va exercer un stress sur l’ensemble des organes, résume J Adrien de l’Inserm. On a donc intérêt à ce que l’heure légale, soit la plus proche possible de l’heure solaire." (...)
Y. Freund : « Le malaise n’est pas apparu avec la crise sanitaire. Si les gens fuient l’hôpital public, c’est parce qu’ils se sont laissés ébouillanter par les pouvoirs publics pendant des années et qu’ils abandonnent avant d’y laisser toute leur peau. Ils le font maintenant parce qu’ils ne voulaient pas abandonner leurs collègues en pleine tempête Covid. Là, plus rien ne les retient, ils voient bien que rien n’est fait pour sauver l’hôpital public. »
P. Pelloux : "Quelque chose a été loupé. La crise monstrueuse que l’on connaît ne date pas d’hier mais d’avant-hier. (...)
Journée vaccination
L’ARS Bretagne, le SDIS et la commune de Groix organisent une journée de vaccination 3ème dose pour les personnes âgées de plus de 65 ans et pathologies à risque qui ont réalisé leur 2ème dose il y a au moins 6 mois.
Le vaccin proposé est Pfizer.
Possibilité également de 1ére et 2ème dose
Le décalage semble considérable entre la vision du gouvernement et celle, sur le terrain, des élus. "Les ARS ont une approche très administrative et doivent encore apprendre à parler avec les élus locaux. Il faut que les communes et les intercommunalités aient une compétence sur le pilotage local de la santé ».
Menu du jour :
Moules et crème à la bière de Groix
Julienne et Rouget, courges delicata, chou noir de Toscane
Poire en gelée et camomille du jardin et safran de Bretagne