Tout au long de la crise, les maires ont en effet été en première ligne pour gérer la situation. Faut-il rappeler qu’au tout début de la campagne de vaccination, le gouvernement tablait sur 600 centres de vaccination – soit six par département – et qu’il a fallu l’action résolue des maires pour que le nombre passe à plus de 1500 dès la fin février ?
Les auteurs de la tribune rappellent les relations compliquées qui se sont mises en place entre les communes, d’un côté, et les Agences régionales de santé (...)
Au plus profond d’une nuit automnale, e-kreiz ar mor, un homme d’une petite cinquantaine est victime d’un infarctus. Sa jeune et blonde compagne tarde à se réveiller et prend d’abord ses plaintes pour des gémissements cauchemardesques.
Le temps qu’elle trouve ses esprits... et son téléphone, une bonne dizaine de minutes s’est écoulée.
Chance, au 15, après avoir répondu trois fois aux mêmes questions et précisé aussi trois fois la date de naissance de son voisin de lit, on prend son appel au sérieux (1) et la prévient qu’on lui envoie pompiers et hélicoptère. (...)
Les départements de Normandie, de Bretagne et des Pays de la Loire, comptent parmi ceux ayant les taux de vaccination chez les plus de 12 ans les plus importants et 99 % pour la capitale.
À l’inverse, certains départements franciliens sont très peu vaccinés (72,8 % dans les Yvelines, ou 76,1 % en Seine-et-Marne).
Alors que les déserts "médicaux" s’étendent, 43 députés LREM appellent le ministre de la Santé à explorer une autre "voie" : la limitation de la liberté d’installation. Ces élus de la majorité avancent une proposition : définir, "à l’échelle des intercommunalités", des zones "surdotées avec interdiction de nouvelle installation dessus, comme cela existe déjà chez les kinésithérapeutes ou infirmiers". Ils appellent le ministre à se "placer du point de vue des patients et de l’opinion publique".
.../...Plusieurs leviers ont également été levés par l’ARS pour faciliter la recherche. D’abord, elle permet dorénavant la cohabitation de médecins salariés et libéraux au sein de la maison de santé. Une mesure dérogatoire, précise le président de l’Aspig. Par ailleurs, les îles bretonnes ont toutes été classées en zones fragiles, ainsi, “les aides à l’installation et tous les leviers accessibles, tant pour les libéraux que pour les centres de santé, sont possibles (contrat de solidarité territoriale avec une majoration d’acte, contrat d’engagement de service public, etc.)”, assure le médecin référent de l’ARS Bretagne.
Ce mardi 12 octobre a également été retenue une consultante à la suite d’un appel d’offres (...)
Consultations les mardis, mercredis et jeudis de 8h30 à 12h30 et de 14h à 19 h.
Virgine et Flavienne recevront vos appels téléphoniques les matins du lundi au vendredi de 8h30 à 12h30 et les après-midi des mardis, mercredis et jeudis de 14h30 à 18h30 (...)
Restaurant récemment repris par un couple de jeunes dynamiques et accueillants.
Mes invités ont apprécié les plats (et plus particulièrment les entrées très originales) et moi aussi (sans parler de la note ... légère, légère ...)
Ne souhaitant pas de burger mais désirant quand même le plat de poisson, un beau filet, "pané" avec des graines torréfiées, (...)
Kersanté, missionné en urgence par l’ARS, peine à trouver des médecins. F Delange : « Il faut avant tout gérer les urgences de jour et trouver un appui de coordination des plannings à plein temps pour soulager les médecins titulaires. » Un consultant, nommé par l’ARS, sera en poste dès lundi pour aider à faire avancer ce dossier. C. Gereys "Les autorités sont prêtes à appuyer les demandes de Groix. » Ouest-France 08/10/21
Remède contre manque de médecins ?
Plus de 200 personnes étaient réunies à la salle des fêtes. C. Gereys présente le document « Notre santé demain sur Groix », rédigé par les acteurs de l’offre médicale. Un consultant devra déterminer le scénario le plus adapté : combien de médecins (deux à cinq) ? Combien de secrétaires ? Quel statut (salarié ou libéral) ? Quel employeur ? Kersanté, Pôle santé ou mairie ? Quelle coordination ? Le Télégramme 08/10/21
Salle des fêtes à 20h30 :
Réunion publique où les représentants de l’APSIG et la municipalité informeront sur la situation médicale.
Il sera également donné la date de la vaccination de rappel pour les personnes qui y sont éligibles.
L’isolement social est un facteur de renoncement aux soins. « Une personne âgée isolée se laisse glisser vers la mort », observe le psychiatre Boris Cyrulnik, cité par l’étude. L’association de lutte contre la solitude des seniors préconise de prendre en compte l’isolement relationnel pour évaluer la perte d’autonomie des personnes âgées, qui conditionne les aides.
Présentation de la soirée par la référente du Pôle Santé de Kervignac (également à gestion associative - MAIS PAS AVEC KERSANTE)
Elle précisera qu’après présentation de l’historique de la situation groisillonne et des projets en cours par Frédéric Delange, Président de l’APSIG, et l’évocation de plusieurs solutions, le public pourra se partager en différents groupes de travail. (...)
. Le nombre de lits d’hospitalisation complète a diminué de 1,5 % entre fin 2019 et fin 2020. Le nombre de lits fermés en 2020 est plus important que pendant les années précédentes. « 10 % de la population française n’a plus de médecin traitant » et « 6 millions de nos concitoyens vivent à plus de 30 mn d’un service d’urgence »
Lutter contre l’isolement et son corollaire la relégation sociale, sera un des maîtres-mots de cette Semaine Bleue anniversaire. Dans les territoires et au plus proche des citoyens âgés, toutes les forces doivent se mobiliser au service de cette cause pour pouvoir vaincre ce fléau. C’est avec cet objectif que nous vous invitons à développer les dynamiques locales de lutte contre l’isolement social
Plus d’un demi-million de personnes âgées ne rencontrent jamais ou quasiment jamais d’autres personnes… Un nombre qui a augmenté de 77 % en quatre ans,
Evran : Centre de santé à gestion municipale
Le projet de centre de santé avait été soumis à l’ARS, qui le 15 avril a autorisé sa création. Les membres du CCAS ont approuvé le projet (...)
""aujourd’hui, Kersanté est dans l’incapacité d’apporter une présence médicale durable, même à court terme sur l’île. D’où une question, légitime : envoyé dans l’urgence par l’ARS pour répondre aux besoins sanitaires durant l’été, ce prestataire de services de santé est-il capable de mettre en place une solution sur le long terme ?""