.../..."Ça va être très compliqué, parce que quoi qu’on fasse, les contaminés d’aujourd’hui auront besoin d’hospitalisations et de réanimations dans dix jours en moyenne", regrette Jean-François Timsit. "Pour ceux-là , il faudra environ 15 jours pour ceux qui ne sont pas intubés et ventilés mécaniquement, et plus de trois semaines pour les autres.
Donc de toute façon, le prochain mois va être infernal. On est dans le mur, (...)
.../... Votre gouvernement multiplie les mesures illisibles, entre inventaires à la Prévert, alertes paranoïaques de fin du monde ou rhétorique du bout du tunnel, entre le « tous aux abris ! » et le « aérez-vous ! », entre le martinet et la câlinothérapie.
Monsieur le président, oubliez le « en même temps ».Finie la dialectique du recto et du verso, de l’attestation de sortie à géométrie variable, des commerces essentiels qui ne le sont qu’un jour sur deux, donnant l’impression qu’ils ont été tirés au sort par des énarques à court d’idées (...)
Le maire : « Voici déjà trois à quatre ans que nous plaidons pour le transport par ambulance de nos malades vers le continent. Cela a bien sûr un coût. Nous avons, à maintes reprises, sollicité la Région, en charge des transports. Nous nous sommes réunis avec l’ARS notamment sur le sujet d’une aide spécifique au transport d’ambulances. Rien ne bouge. Ce n’est pas là une histoire de gros sous mais de volonté politique. »
G. Brousse, psychiatre : L’épidémie a été propice à la montée des addictions. La peur d’être contaminé ou de voir ses proches l’être, le confinement, la perte d’un emploi ou la diminution des revenus... Tout cela a contribué à l’augmentation de la consommation de substances psychoactives et notamment de l’alcool. Celui-ci est en quelque sorte, le grand gagnant des addictions.
Angèle Consoli, pédopsychiatre, membre du Conseil scientifique : "Les difficultés que vont rencontrer les parents ont un impact direct sur la dynamique familiale et sur le bien-être de leurs enfants. Sans être culpabilisant, il y a besoin d’accompagnement et d’aide. En santé mentale, les deux risques majeurs, c’est la précarité sociale et l’isolement social."
C’est une litote que de dire qu’un certain flou juridique règne ce matin dans les départements soumis à des règles sanitaires renforcées.
Le décret paru samedi donne des indications précises sur ces mesures. Précises, mais tellement complexes que le gouvernement, quelques heures après sa parution, a fait machine arrière sur un certain nombre de points. Sauf que l’on se retrouve dans une situation relativement inédite, (...)
Le 16 mars, en visite à la brigade de GROIX, le commandant de compagnie de Lorient a pu échanger avec Monsieur YVON, maire de GROIX, et Monsieur LE MENACH, premier adjoint.
L’occasion de faire un point sur l’activité des 5 gendarmes de l’ÃŽle et préparer dès à présent le dispositif estival (...)
D’après l’ARS Bretagne, 97 % des résidents des Ehpad ont été vaccinés. La Bretagne est également la quatrième région de France, avec 7,8 % de personnes vaccinées parmi la population totale. Toujours au niveau régional, « 45 % des plus de 75 ans sont vaccinés et nous aimerions être à 70 % d’ici la fin du mois. La cadence va augmenter dans les centres » , indique Stéphane Mulliez.
La secrétaire d’Etat belge chargée du Budget a publié un tableau donnant le détail des montants promis par son gouvernement aux fabricants pour chacun des six vaccins commandés, avec le prix à l’unité pratiqué dans l’UE.
1. AstraZeneca : 1,78 euros 2. Johnson & Johnson : $8,50 3. Sanofi/GlaxoSmithKline : 7,56 euros 4. Curevac : 10,00 euros 5. Pfizer/BioNTech : 12,00 euros 6. Moderna : $18,00.
À l’heure de la fin des vacances, certaines communes ont vu leur taux d’incidence fortement progresser sur la période, quand d’autres communes se retrouvent à des niveaux plus faibles.
La commune où le taux d’incidence est le plus fort est Belle Ile en Mer* qui connait un taux de 349.70, qui connait également la plus forte hausse. (...)
JM Constantin, (réanimateur, Pitié-Salpêtrière) : La déprogrammation a un coût en termes de santé publique. Il y a des patients qui sont déprogrammés depuis 12 mois maintenant, Si on déprogramme à 40 % sans confinement on n’a aucune idée de la durée pendant laquelle il faudra déprogrammer. Ce n’est pas neutre en terme de santé publique de déprogrammer massivement.
Une livraison en flux poussé du stock résiduel de doses Astra Zeneca à destination des 6 756 pharmacies vaccinant contre la grippe et situées dans les 18 départements à la plus forte circulation épidémique1. Elles se verront envoyer un flacon le jeudi 11 mars ou le vendredi 12 mars. Une ouverture élargie à l’ensemble des pharmacies à compter de la semaine du 15 mars.
Les officines pourront commander 1 ou 2 flacons pour leurs propres besoins. (...)
L’arrêté préfectoral entre en vigueur à compter du 9 mars et jusqu’au 12 avril inclus. Sont concernées les communes des EPCI suivants : Pontivy Communauté, , Lorient Agglomération, Communauté de communes de Belle-ÃŽle-en-Mer..../.. Le port du masque est obligatoire pour toute personne de 11 ans et plus sur la voie publique ou dans les lieux ouverts aux publics de 6 h à 20 h.
« On est rassuré, on est entre nous et bien soigné », a dit ce Groisillon qui venait de quitter le box de vaccination. Les 11 et 12 février et 4 et 5 mars, 350 personnes de 75 ans et plus, auront reçu les deux injections de vaccin Pfizer/BioNTech. Au cours de la session de dépistage du 24 et 25 février, 350 personnes se sont présentées et 2 % ont été testées positif, plus quatre personnes supplémentaires à l’Ehpad.
Les RT notent que, globalement, les sympathisants de l"ultra-droite continuent de contester le confinement, résultat du manque de préparation des ’technocrates de l’Etat’. La politique du gouvernement est jugée volontairement "anxiogène" visant à culpabiliser et manipuler les Français
Benedetti compare Macron à un général d’opérette dont les troupes seraient composées d’infirmières équipées de protections en papier.
Le taux de vaccination très bas des personnels de santé scandalise jusque dans les hôpitaux. Les théories antivax propagées sur les réseaux sociaux n’arrangent rien. « Ils viennent plus volontiers dès qu’ils y trouvent un intérêt personnel, selon C. Trivalle. Par exemple quand ils projettent de partir à l’étranger et qu’ils pensent devoir fournir une preuve de vaccination pour prendre l’avion. »
Tout est tranquille dans la salle des fêtes de Groix, ce jeudi après-midi, il y règne même une atmosphère printanière et décontractée. Comme pour le premier épisode de vaccination, tout le personnel médical et municipal de l’Île est mobilisé, ainsi que les pompiers. Certains médecins à la retraite sont même venus donner un coup de main, comme Lorraine Fouchet.
Dès le 25 février, si vous avez entre 50 et 64 ans et êtes atteints de comorbidités, il sera techniquement possible de se faire vacciner directement chez un généraliste. 30 000 docteurs se sont portés volontaires mais ils ne peuvent administrer que dix doses chacun, par manque de vaccins.
P GRATIAN. Ouest-France 23/02/21
CE N’EST PAS SI SIMPLE !!! la marche à suivre à Groix :
Pour l’instant, la maison médicale ne dispose que d’UN flacon de vaccins Astra Zeneca. (...)
Le Covid-19 est aujourd’hui la première maladie nosocomiale de France. Le 14 février, près de 27 000 patients avaient attrapé le coronavirus à l’hôpital depuis le début de l’épidémie, selon Santé publique France, qui recense "186 décès liés".
L’Ordre national des infirmiers rappelle que la vaccination "relève du devoir déontologique" et que l’infirmier doit "toujours agir dans l’intérêt du patient"
Fabien Magnenou France Info 04/03/2021
CGT et CFDT pas opposés. Malheureusement rien trouvé chez SUD.