Boues

Le Parti breton du pays de Lorient « prend acte, avec satisfaction, de l’évolution du dossier des boues de la rade de Lorient, mais souligne que la vigilance doit rester de mise concernant les suites qui seront réellement apportées à cette question.
Le Télégramme 22/01/2005

(l’intitulé en breton proposé par les Groisillons n’ayant pas fait l’unanimité)

et son bureau est :
le president : Guenael LEGRAS
le secretaire : Bernard MARGERIE
le tresorier : Philippe LE PORT

Prochaine réunion (o/jour : les cotisations)
Mardi 13 Juin à Larmor Plage.

Depuis quelques mois, un étrange manège oppose la préfecture, les élus, les associations de protection de l’environnement, les entreprises d’exploitation et les opérations de clapage. La zone disputée se situe entre Groix, Lorient, et Quiberon.

Du côté de la préfecture, il y a deux affaires différentes : la délivrance du permis exclusif de recherche (PER) dit « Sud-Lorient » et l’agrandissement de la zone Natura 2000 autour de Groix.

Quatre délégués du Collectif contre l’immersion des boues et pour leur traitement à terre sont allés offrir aux décideurs lorientais des pots de boue prélevée dans le port de Lorient, ceci afin de protester contre le manque d’informations sur les méthodes d’analyses, ainsi que sur les entorses aux engagements pris pour le clapage (...)

Dans son courrier à la préfète, le collectif met en avant les effets néfastes de l’immersion pour les activités des professionnels de la pêche, mais aussi pour l’économie touristique. Il pourrait appeler à des actions symboliques pour se faire plus largement entendre.
Le Télégramme 10/01/2005

opposés à l’immersion des boues de DCN, s’interrogent : "Nous n’avons aucun accès aux infos sur les nouveaux carottages.
Où est la transparence que l’on est soit-disant en droit d’attendre en démocratie ? Le black-out est total".
Ouest-France 15/01/2005

« Aura-t-on les moyens d’empêcher tous les largages ? Si le président de Cap l’Orient veut toujours parler de nature, de maritimité et de cadre de vie, il faudra que la communauté d’agglomération traite rapidement de cette question », estime Eric Régénermel.
Le Télégramme 19/01/2005

« Le traitement à terre des boues de la DCN en totalité est bien l’objectif de la commune de Groix, qui reste fidèle à son combat qui date de plusieurs années, la municipalité ayant toujours voté contre l’immersion des boues, même réputées non toxiques, que ce soit en conseil municipal ou en conseil communautaire.
Ouest-France 10/02/2005

Le Collectif réuni vendredi soir a décidé de renouveler ses courriers aux autorités, restés sans réponse (comme le nôtre à la mairie de Groix). Il prévoit également une conférence de presse.

Le maire demande aux pouvoirs publics d’envisager un stockage à terre de ces boues, même si le coût est six fois supérieur à la filière d’immersion.
« Car le coût des nuisances pour la santé (infertilité, risques mutagènes et cancérigènes) et pour l’environnement n’a pas été chiffré ».
Le Télégramme 11/12/2004