Palme d’Or de l’indécence à Roselyne Bachelot, égérie sarkozyste, qui a moqué ces médecins envoyés au front sans équipements de protection : « Il faut quand même se prendre un peu en main. Tant qu’on attendra tout du seigneur du château, on est mal ! »
En l’absence de gouvernail, cette « guerre » a été menée et temporairement gagnée par les gueux. Généralistes, infirmiers, (...)
Par manque de moyens, de nombreux Français réutilisent les masques. Dr Luc Duquesnel : Si par exemple il a été utilisé seulement cinq minutes pour aller chez le boulanger puis déposé à la maison en rentrant, on peut le reprendre le lendemain sans problème.
Mais cette reprise de l’épidémie ne touche pas toutes les régions de la même façon. Et ce sont les régions qui ont été le plus épargnées où les hausses (certes légères) sont les plus marquées. Selon F Adnet, ces régions sont les plus touchées car les populations qui y vivent ne "sont absolument pas immunisées". En Bretagne, où le virus avait pratiquement disparu fin juin (2 cas le 30 juin), les courbes repartent à la hausse depuis une semaine.
Ce mardi 14 juillet, comme tous les mardis, les habitants de Kermarec ont attendu le passage des éboueurs. Les poubelles sont encore restées intactes. Les déchets et les mauvaises odeurs laissent un goût amer au voisinage.
Au centre de la discorde : des haies. Pour faciliter la tâche des éboueurs, les familles vivant à Kermarec réunissent les poubelles sur un terrain communal. Le camion descendait les récupérer. (...)
« Si le peu de tests disponibles en février-mars avait été alloué à la médecine de ville plutôt qu’Ã l’hôpital, nous aurions pu voir venir l’épidémie beaucoup plus tôt, estime le docteur Leicher . En Allemagne, 8 tests sur 10 étaient réalisés en médecine de ville et non à l’hôpital. » Mais la France regardait ailleurs, focalisée sur le sommet émergé de l’iceberg : l’hôpital et les décès. Jusqu’Ã la fin du mois de mars, les malades du Covid-19 n’existaient que s’ils franchissaient les murs de l’hôpital. Même les décès en Ehpad étaient encore sous les radars.
Ils sont là ! En particulier en bord de mer. Impossible de ne pas le remarquer : les routes et plages du littoral morbihannais étaient complètement saturées ce week-end.
Profiter de ses vacances, c’est bien ; respecter les gestes barrières, aussi.
Des médecins réclament "le masque obligatoire" dans les lieux publics clos. Des signaux faibles commencent à apparaÎtre et doivent nous alerter sur un possible redémarrage massif des transmissions. C’est "Ã ce stade" qu’il faut "agir pour éviter une nouvelle vague massive et meurtrière. Quand les clusters seront plus nombreux et non contrôlables, il sera trop tard (...)
Les conditions de relève des équipages français au thon tropical se sont sensiblement améliorées depuis le début de la crise du covid-19. « Mais la situation devient très délicate pour les marins africains, avec des durées d’embarquement allant jusqu’Ã huit mois, indique S Roux » Leurs pays d’origine n’ont pas d’accords de transit avec les pays de débarquement. Claude Huchet, responsable CFDT, dans une lettre ouverte, « appelle les armateurs à mettre prioritairement leur efficacité conjuguée à solutionner les problèmes humains que rencontrent les équipages.
C’est une salve de critiques à l’égard du projet de nouveau terminal T4 de l’aéroport Roissy-Charles de Gaulle qu’a émise l’Autorité environnementale. Qu’il s’agisse des émissions de gaz à effet de serre, des nuisances sonores, de la pollution de l’air ou des incidences sur les milieux naturels, le groupe Aéroports de Paris doit revoir une grande partie de son projet et réévaluer tous les impacts.
« Il faudra porter le masque dans les filets. Le nombre de personnes sera limté pour pouvoir conserver une certaine distance dans les filets. » L’entreprise qui compte 17 CDI et qui peut, selon les chantiers et l’activité, embaucher une trentaine de CDD de plusieurs mois, a dû activer le chômage partiel. Pierre Sacaze : la fermeture des frontières nous impacte fortement
Selon les règles en vigueur, les serveurs et salariés d’un établissement en contact avec le public doivent obligatoirement porter un masque, y compris en terrasse.
Pour les clients, le protocole est également clair : "les clients des cafés, bars et restaurants doivent porter un masque, sauf lorsqu’ils sont à table". (...)
La mission demande une autonomie accrue des ARS. La mission évoque les contraintes, notamment les nombreux reporting à rendre au niveau national, qui expliqueraient les lourdeurs que les ARS font à leur tour peser sur les acteurs de terrain. Elle propose donc « qu’elles bénéficient d’une plus grande autonomie dans la déclinaison régionale des objectifs nationaux et d’une plus grande souplesse dans la gestion des moyens mis à leur disposition, particulièrement le Fonds d’Intervention Régional
Manque de personnels, conditions d’hygiène alarmantes, vocations en berne… En psychiatrie, les patients sont parfois maltraités. Et les soignants aussi. Fin mars, alors que le pays s’installe dans le confinement, des masques et du gel hydro– alcoolique sont distribués aux hôpitaux, sauf… aux psychiatriques. Étourderie  ? Trois mois plus tard, l’oubli heurte toujours des professionnels qui depuis longtemps déjà se sentent méprisés.
Le président de la République a annoncé une réforme de l’État qui ferait le pari de la décentralisation. E. Macron « veut ouvrir une page nouvelle donnant des libertés et des responsabilités inédites à ceux qui agissent au plus près de nos vies, libertés et responsabilités pour nos hôpitaux, nos universités, nos entrepreneurs, nos maires et beaucoup d’autres acteurs essentiels »
La colère du personnel hospitalier ne retombe pas malgré le « Ségur de la santé" . Une dizaine de collectifs hospitaliers et de syndicats appellent à une grande journée de manifestation sur tout le territoire mardi 16 juin.
Rendez-vous est donné à Lorient à 14 h30 , devant l’hôpital du Scorff. (...)
Cet ouvrage est né de la volonté d’aider dans leur travail les soignants marseillais, les « petites mains » qui, des infirmières aux brancardiers, des ambulanciers aux aide-soignants ont permis aux médecins de sauver des vies depuis le début de la crise sanitaire liée au « covid 19 ».
Tout est bénévole : les auteurs qui ont répondu présent et tous les membres de la chaine d’édition.
Afin de gérer au mieux l’accueil des usagers et d’assurer l’évacuation des déchets conformément à la réglementation, la règle d’accès liée au dernier chiffre de la plaque d’immatriculation, qui doit correspondre au dernier chiffre de la date du jour, est maintenue jusqu’au samedi 13 juin inclus. Le dispositif sera levé à partir du lundi 15 juin.
Il faut penser qu’il faudra peut-être réaliser un test après l’autre. Il n’est pas certain qu’il y ait une deuxième vague mais mieux vaut se préparer. En cas de contamination massive, il faudra trouver un lieu adapté sur l’Île qui puisse être désinfecté rapidement avec des files différentes. Où trouver des sur blouses en quantité suffisante  ? Quel lieu prévoir alors que les travaux de la maison de santé ont été retardés  ?
« Le nombre des personnes qui peuvent être admises à pénétrer dans la salle communale où est organisée la célébration du mariage est déterminé en fonction de la taille de cette salle et de la possibilité de faire respecter la distance barrière d’un mètre entre les personnes venant assister à la célébration. » La décision reviendra donc au maire, en fonction des conditions locales.