Nous avons des amis généreux : juste avant le confinement ils ont gentiment partagé avec nous la covid 19 dont ils étaient porteurs. Pour notre amie cela s’est traduit par 2 jours de grippe tandis que son mari restait asymptomatique. Pour moi ce fût un simple rhume et pour Guénaêl aucun symptôme.
C’est donc l’occasion d’avoir au téléphone la fameuse brigade anti-covid qui va se charger de contacter les personnes que nous
avons côtoyées (...)
Cela s’est passé au mois d’août dernier, je suis à Paris dans une chaleur tropicale dès 11h du matin. Je supporte bien ces températures extrêmes et mon énergie est intacte.
Je dois déjeuner avec une amie et je pars la rejoindre à pied selon mon habitude. Le masque est obligatoire depuis le confinement et la propagation du virus, cela n’engage pas à prendre le bus ou le métro. (...)
De 6.390 cas confirmés en Bretagne le 2 septembre 2020, la région est passée à plus de 14.000, un mois plus tard, puis à près de 33.000, le 2 novembre. Le dernier bilan de l’Agence régionale de santé, publié le 11 novembre 2020, faisait état de 42.999 cas positifs détectés en Bretagne et 418 décès liés au coronavirus.
Les retraité(e)s sont présenté(e)s comme des privilégié(e)s alors qu’une pension sur trois est inférieure à 1000€. Du fait de l’absence de revalorisation réelle depuis 7 ans, plusieurs millions de retraité(e)s ont une pension NETTE inférieure à celle qu’ils percevaient au 1er avril 2013. Depuis l’arrivée du Président Macron, les pensions ont perdu 5,5% de pouvoir d’achat (56.snuipp.fr)
Avec l’intersyndicale des retraité(e)s CGT, FO, FSU, Solidaires, FGR FP et LSR, nous exigeons :
100 euros tout de suite pour rattraper notre pouvoir d’achat - Revalorisation des pensions indexée sur le salaire moyen - Accès à la santé pour tous/toutes - Prise en charge de la perte d’autonomie à 100% dans la branche maladie de la Sécurité Sociale
UFC-Que Choisir : Il y avait 405 pénuries en 2016, 2 400 En 2020, (étude ANSM). Ces pénuries concernent des médicaments dits d’intérêt thérapeutique majeur, "pour lesquels une interruption de traitement peut être susceptible de mettre en jeu le pronostic vital des patients". Au 15 juillet 2020, les médicaments indisponibles sont prioritairement des produits anciens et peu coûteux.
Le maire Divers droite de Thionville, Pierre Cuny. Médecin, réclame un confinement plus strict. « Il faut y aller de façon beaucoup dure. Plus le confinement sera serré, plus on pourra rapidement rouvrir les commerces. » Et le même de juger la démarche de certains collègues, prenant des arrêtés pour ouvrir certains commerces fermés, « irresponsable » et « populiste »
Alors que Castaner s’en est pris à LFI qui n’aurait « aucune idée, aucun projet, aucune responsabilité, le néant », Adrien Quatennens lui rétorque : « 11 propositions de loi, 5 plans, 4 guides, un rapport de 180 pages que, comme à votre habitude, vous avez foutus à la poubelle ! » Bref : la routine.
Plusieurs élus, bons connaisseurs des questions médicales, ont eux aussi critiqué ce matin « l’impréparation » du gouvernement. C’est le cas du chef du service des urgences de l’hôpital Georges-Pompidou, qui estime qu’il « faut prendre la décision [de confiner], c’est certain », et « pas dans huit jours », mais juge « inconcevable » le fait que le gouvernement se soit laissé « surprendre », après l’expérience du printemps dernier.
Quant au président de la FHF, il a lui aussi appelé ce matin à « des mesures radicales » qui, selon lui, auraient même dû être prises « il y a quinze jours ». (...)
Le porte-parole de Système U. : " On a vu ce qui a précédé le confinement de mars, cela nous a appris un certain nombre de choses ainsi qu’Ã l’amont, aux industriels. Depuis la sortie du confinement, on a des stocks légèrement supérieurs à ce qu’ils sont normalement de produits qu’on dit "psychologiques", comme les pâtes ou les conserves de légume. »
A 14h au Port Saint Nicolas :
Opération plage propre
"Nettoyons le port"
Prévoir : - une paire de gants - un masque (Covid-19) et...
De la bonne humeur.
Renseignements : adam-michaelmicou@hotmail.fr 06 11 37 16 26
"Ils se dégradent très vite, on le voit, ils sont essoufflés au moindre mouvement, ils n’ont plus aucune réserve », confirme l’infirmière Natacha Perin.
Leurs hospitalisations sont très longues. L’un d’eux est en réanimation depuis trente-cinq jours, toujours intubé. Ces malades-là sont décharnés par la réanimation, marqués au visage par le decubitus ventral : le frottement des coussins a irrité leur peau, ils ont des croutes au front, au menton, autour de la bouche (...)
Ce forfait, plafonné à 18 euros, remplacera l’actuel "ticket modérateur" qui laisse à la charge du patient 20% du coût de ses soins. François Ruffin, LFI, a fait part de son "inquiétude que [ce forfait] contribue à être un obstacle aux soins" pour des personnes sans moyens. Le gouvernement a décalé la mise en Å“uvre de ce nouveau forfait du 1er janvier au 1er septembre 2021.
La commune garde les lots réunion, dentistes, sage-femme, salle d’attente et studio mais a vendu le reste au profit des personnels de santé, soit 17 lots pour neuf acheteurs. .Ouverte en 2018, la maison de santé accueille : deux médecins généralistes, deux infirmiers, deux dentistes, une psychomotricienne et deux orthophonistes, un diététicien-podologue, deux kinésithérapeutes et un lot ostéopathe-sage-femme.
Tout d’abord, Monsieur, je vous prie d’excuser ce moyen cavalier de m’adresser à vous mais, ne fréquentant pas l’Eglise, je n’ai trouvé que celui-ci. Ma confusion est relativisée par l’assurance que m’avait donnée le recteur Guyot qui excusait ma défection en ces termes "Je préfère à certaines paroissiennes les concitoyens qui Å“uvrent pour la collectivité ".
L’article paru ce jour vous concernant me renvoie aux années où j’étais institutrice dans une mission catholique de Côte d’Ivoire. Un journaliste aurait pu faire du Père missionnaire qui m’employait un portrait semblable au vôtre. Lui aussi tentait de "bâtir une fraternité en écoutant les gens." (...)
Des opérations liées au « plan de gestion opérationnelle des dragages, validé en juin 2019 par le préfet du Morbihan pour une durée de dix ans ».70 000 m3 de sédiments de qualité immergeable seront dragués. Les sédiments non immergeables seront laissés en place et dragués ultérieurement, quand une filière de gestion dédiée et autorisée à terre sera opérationnelle ».
Alors qu’un appel à la grève est lancé pour le jeudi 15 octobre, quatre infirmières évoquent leur ras-le-bol. "On a peur de contracter la covid, car on voit certains de nos collègues qui l’ont eue au printemps, qui ne récupèrent pas bien. On a vu un brancardier de 20 ans qui, plusieurs mois après, avait du mal à pousser un brancard vide, une aide-soignante qui est toujours essoufflée. Ça fait peur comme maladie ».