Le journaliste, lui aussi, se croit obligé d’appeler les continentaux à nous rendre visite et... plus que discret sur les précautions sanitaires à respecter sur l’Île comme ailleurs !
Le taux d’incidence sur le Morbihan, il est de 398 chez les 16-25 ans, 280 chez les 25-35 ans », observe A. Levron. Le directeur général : L ’hôpital est plein en ce moment et n’a toujours pas rattrapé son retard, notamment en chirurgie viscérale. « Les chirurgiens ont vu arriver des patients avec des pathologies qui n’étaient plus vues depuis des années, car diagnostiquées trop tard ».
Déjà disponibles dans les rayons des supermarchés en Allemagne, en Autriche, aux Pays-Bas, au Portugal, en Angleterre, ou encore en Suisse, les tests antigéniques ne devraient pas faire leur apparition sur les étals français, malgré le feu vert de la Haute Autorité de santé. Les lobbys de biologistes et de pharmaciens sont montés au créneau dès l’annonce de la HAS, poursuit le Figaro.
Émilie Guyomar ira chercher et conduire les clients au port, mais elle espère aussi rapidement être conventionnée par la Caisse primaire d’assurance maladie (CPAM) et par l’Agences régionales de santé (ARS) pour tout ce qui relève du transport assis des personnes nécessitant des soins. La conductrice pense commencer dès le week-end de Pâques. Groix Taxi au 06 60 32 69 75.
Erwann et Gael Leclerc , sont respectivement ancien topographe en archéologie et technicien du spectacle. Ils ont décidé de tout arrêter pour devenir cultivateurs sur l’Île. "Nous arrivons à nous verser un petit Smic à chacun. Nous n’avons pas de crédits, la maison et le terrain nous appartiennent et nous avons tout acheté d’occasion. C’est un modèle très économique."
X. Bertrand a accusé E Macron : " Il y a pire que de ne pas vouloir reconnaÎtre ses erreurs, c’est de ne rien apprendre de ses erreurs . Regardez le contraste avec Mme Merkel », a-t-il poursuivi, alors que le chef de l’État a refusé tout mea culpa, notamment sur sa décision de ne pas reconfiner fin janvier. « Comment voulez-vous qu’il y ait ensuite la confiance avec le peuple français ? », a-t-il demandé.
Face à la dégradation de la situation, les Hôpitaux de Paris envisagent selon nos informations de saisir les instances éthiques sur les "critères de triage" des patients. La question de devoir faire des choix entre les malades qui pourront, ou non, accéder à la réanimation, est désormais dans toutes les têtes. Selon nos informations, elle a également été discutée ce mercredi lors d’une réunion de la cellule de crise de l’AP-HP.
Le chef de l’État a changé de ton. S’il assume pleinement les décisions prises jusqu’Ã présent (« je peux vous affirmer que je n’ai aucun mea culpa à faire, aucun remords, aucun constat d’échec. Dans les prochains jours et semaines, nous aurons des nouvelles mesures à prendre. » Quant aux déclarations du président de la République sur le fait qu’il ne se livrera à « aucun constat d’échec », elles seront diversement appréciées par les médecins et les scientifiques qui, depuis plusieurs semaines, estiment que le « pari » fait par le chef de l’État de ne pas confiner en février, à rebours des recommandations du Conseil scientifique, est clairement perdu. Et qu’ils le payent, aujourd’hui, dans les services de réanimation saturés.
Il devient de plus en plus difficile d’affirmer, comme s’obstine à le faire le ministre de l’Education nationale, que les enfants ne se contaminent pas à l’école. Le taux d’incidence, soit le nombre de contaminations détectées pour 100 000 habitants est en pleine flambée chez les plus jeunes. Cette progression a eu lieu sur tout le territoire, mais est particulièrement accentuée en Ile-de-France.
Dans chacun de ses départements, le taux d’incidence pour les 0-19 ans y est supérieur à 400 et atteint même 541 dans le Val-de-Marne.
.../..."Ça va être très compliqué, parce que quoi qu’on fasse, les contaminés d’aujourd’hui auront besoin d’hospitalisations et de réanimations dans dix jours en moyenne", regrette Jean-François Timsit. "Pour ceux-là , il faudra environ 15 jours pour ceux qui ne sont pas intubés et ventilés mécaniquement, et plus de trois semaines pour les autres.
Donc de toute façon, le prochain mois va être infernal. On est dans le mur, (...)
.../... Votre gouvernement multiplie les mesures illisibles, entre inventaires à la Prévert, alertes paranoïaques de fin du monde ou rhétorique du bout du tunnel, entre le « tous aux abris ! » et le « aérez-vous ! », entre le martinet et la câlinothérapie.
Monsieur le président, oubliez le « en même temps ».Finie la dialectique du recto et du verso, de l’attestation de sortie à géométrie variable, des commerces essentiels qui ne le sont qu’un jour sur deux, donnant l’impression qu’ils ont été tirés au sort par des énarques à court d’idées (...)
Le maire : « Voici déjà trois à quatre ans que nous plaidons pour le transport par ambulance de nos malades vers le continent. Cela a bien sûr un coût. Nous avons, à maintes reprises, sollicité la Région, en charge des transports. Nous nous sommes réunis avec l’ARS notamment sur le sujet d’une aide spécifique au transport d’ambulances. Rien ne bouge. Ce n’est pas là une histoire de gros sous mais de volonté politique. »
G. Brousse, psychiatre : L’épidémie a été propice à la montée des addictions. La peur d’être contaminé ou de voir ses proches l’être, le confinement, la perte d’un emploi ou la diminution des revenus... Tout cela a contribué à l’augmentation de la consommation de substances psychoactives et notamment de l’alcool. Celui-ci est en quelque sorte, le grand gagnant des addictions.
Angèle Consoli, pédopsychiatre, membre du Conseil scientifique : "Les difficultés que vont rencontrer les parents ont un impact direct sur la dynamique familiale et sur le bien-être de leurs enfants. Sans être culpabilisant, il y a besoin d’accompagnement et d’aide. En santé mentale, les deux risques majeurs, c’est la précarité sociale et l’isolement social."
C’est une litote que de dire qu’un certain flou juridique règne ce matin dans les départements soumis à des règles sanitaires renforcées.
Le décret paru samedi donne des indications précises sur ces mesures. Précises, mais tellement complexes que le gouvernement, quelques heures après sa parution, a fait machine arrière sur un certain nombre de points. Sauf que l’on se retrouve dans une situation relativement inédite, (...)
Le 16 mars, en visite à la brigade de GROIX, le commandant de compagnie de Lorient a pu échanger avec Monsieur YVON, maire de GROIX, et Monsieur LE MENACH, premier adjoint.
L’occasion de faire un point sur l’activité des 5 gendarmes de l’ÃŽle et préparer dès à présent le dispositif estival (...)
D’après l’ARS Bretagne, 97 % des résidents des Ehpad ont été vaccinés. La Bretagne est également la quatrième région de France, avec 7,8 % de personnes vaccinées parmi la population totale. Toujours au niveau régional, « 45 % des plus de 75 ans sont vaccinés et nous aimerions être à 70 % d’ici la fin du mois. La cadence va augmenter dans les centres » , indique Stéphane Mulliez.
La secrétaire d’Etat belge chargée du Budget a publié un tableau donnant le détail des montants promis par son gouvernement aux fabricants pour chacun des six vaccins commandés, avec le prix à l’unité pratiqué dans l’UE.
1. AstraZeneca : 1,78 euros 2. Johnson & Johnson : $8,50 3. Sanofi/GlaxoSmithKline : 7,56 euros 4. Curevac : 10,00 euros 5. Pfizer/BioNTech : 12,00 euros 6. Moderna : $18,00.
À l’heure de la fin des vacances, certaines communes ont vu leur taux d’incidence fortement progresser sur la période, quand d’autres communes se retrouvent à des niveaux plus faibles.
La commune où le taux d’incidence est le plus fort est Belle Ile en Mer* qui connait un taux de 349.70, qui connait également la plus forte hausse. (...)