Un gamin de 14 ans est en prison pour avoir assassiné une jeune femme à l’entrée d’un collège.
Notre société devrait pleurer ce drame, pleurer ce qu’elle est, ce qu’elle devient, pleurer cette femme morte, ce gamin en prison, sa famille, celle de la victime, pleurons.
Nous pourrions abolir les armes, les couteaux, les marteaux, les réseaux sociaux, les jeux vidéo, les mots croisés et pourquoi pas la haine.
Abolir sans même remettre en question notre société, abolir pour abolir ne servirait à rien. (...)
