Pollution

Situation rétablie sur la rivière Etel et la rade de Lorient. La pêche, le ramassage, mais aussi l’expédition et la mise en marché des coquillages sont de nouveau autorisés dans ces deux zones.
Le Télégramme 18/07/2007

Des bénévoles qui ont ramassé le fioul de l ’ Erika sur les plages ont annoncé , hier, vouloir établir un bilan sanitaire de cette opération de nettoyage, la cargaison du navire étant soupçonnée d ’ être plus toxique qu ’ annoncée http://erika.benevoles.free.fr/
Le Télégramme 21/01/2007

Confédération maritime et Echo-Fipol devant le tribunal.
Qui devait superviser le versement des fonds aux victimes de la marée noire de l’Erika ? L’argent versé l’a-t-il été à bon escient ? Ces questions opposent Confédération maritime et Echo-Fipol, par qui passent les demandes d’indemnisations. Elles ont été examinées hier par le tribunal de commerce de Lorient.
D’un côté, il y a la Confédération maritime, menée par le bouillonnant Alain Malardé, qui a pris fait et cause pour les (…)

Compte-rendu de la conférence* à Biscarosse du professeur Belpomme sur les dangers sanitaires de la pollution chimique

Des problèmes locaux …

En présence de plusieurs scientifiques, experts et responsables de mouvements associatifs régionaux, nos principales préoccupations ont été évoquées : les rejets en mer du wharf, le dragage et l’élimination des boues toxiques des ports du bassin, l’incinération des déchets… activités qui menacent notre environnement, la pêche, l’élevage des huîtres, la qualité sanitaire des eaux de baignade …

Le président de la Confédération maritime, Alain Malardé, a été interpellé , hier, par la police espagnole après avoir « envahi » les locaux du Fidac, équivalent espagnol du Fonds d’indemnisation pour les dommages dus à la pollution par les hydrocarbures (Fipol).
M. Malardé, muni d’un gant et d un seau de fioul ramassé dans le port de Muxia, accompagné d’un autre membre du syndicat, a badigeonné un mur avant d’être délogé puis interrogé par la police locale .
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Si jusqu’à hier, le doute restait permis quant à l’origine de la pollution
qui touche le littoral de Bretagne sud et d’une partie du Morbihan depuis
quatre jours, les résultats des premières analyses (*) sont formels. « C’est
une signature Prestige. Il n’y a pas de produit pétrolier semblable »,
faisait savoir hier le procureur de la République de Brest, François Nicot.
Cette précision répond à l’interrogation de certains élus, se demandant
hier, s’il pouvait s’agir de dégazages (…)

Jean-Marc Le Carour, président de l’Union régionale des acteurs du tourisme
vient d’écrire une lettre ouverte au président de la République à propos de
la pollution qui touche nos côtes suite au naufrage du Prestige.
Dans cette lettre le Morbihannais explique que l’union régionale constitue
« une cellule de réflexion et une force de proposition. » L’association « 
entend agir pour le développement d’une économie touristique respectueuse de
l’environnement. »
Il poursuit : « Depuis (…)

Comment expliquer qu’un capitaine, qui navigue pour la première fois en Atlantique, décide, d’aller s’abriter à Donges, plutôt qu’à Brest, moins éloigné au moment des grosses difficultés et surtout sur une route moins exposée au mauvais temps. Stéphane Jézéquel Le Télégramme 12/03/2007 L’étau se resserre D.de Talancé, « Total n’a pas agi comme les autres affréteurs dans le cas de l’Erika, car le groupe a ajouté à la charte des clauses supplémentaires et ces fameuses " instructions de (…)

PRESTIGE point de situation n°144 Dans la soirée d’hier, la vedette régionale des Affaires maritimes ARMOISE a confirmé une pollution signalée par un sablier sous la forme de boulettes éparses dans le secteur du Pilier au nord ouest de l’île de Noirmoutier et a effectué un prélèvement
Ce jour, le remorqueur de haute mer TENACE qui effectuait un remorquage le long des côtes morbihannaises a constaté la présence de pollution par hydrocarbure sous la forme de boulettes et petites galettes (…)

D’entrée de jeu, suspense : certains avocats vont plaider l’incompétence du tribunal. Le groupe pétrolier Total par exemple va plaider qu’en tant qu’affréteur au voyage - sorte de locataire très temporaire du navire - il ne peut être tenu pour responsable du naufrage. Bernard LE SOLLEU. Ouest-France 12/02/07 Erika. Les indemnisations n’ont rien effacé Il est paludier à Batz-sur-Mer (44) ; elle est ostréicultrice à Locoal-Mendon (56). Charles et Dominique Perraud sont membres des deux (…)