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Eoliennes flottantes ? Discutons-en !
5 commentaires25.09.2020
Salle des fêtes - à 18h
La rencontre se déroulera dans le strict respect des mesures sanitaires (masques obligatoires, gel hydroalcoolique à disposition, etc.).
Afin de faciliter l’organisation de la réunion et le respect des consignes sanitaires, nous vous invitons à vous inscrire.
Vos commentaires
# Le 19 septembre 2020 à 18:40, par Pascale des Mazery
Avant d’aller à la réunion du 25 septembre, ceux qui aiment Groix devraient consulter les photomontages réalisés par la Commission du débat public, en allant sur http://eolien-en-mer-sud-bretagne.geophom.info (ouvrir l’onglet « carte des photomontages » puis cliquer sur les points rouges)
Qu’on soit pour ou contre l’éolien, ces photos interpellent.
# Le 22 septembre 2020 à 11:48, par ICONOCLASTE
La question sur l’opportunité d’un tel projet est biaisée dans la mesure où il est indissociable d’une radicale diminution de nos besoins en énergie que notre actuel système économique ne peut et ne veut envisager. Donc NON au projet !
Question : parc automobile avec 20% de voitures électriques imbéciles = 3, 60, 200, 1000, ou plus, d’éoliennes ? Ou pire combien de centrales nucléaires ?…
Arrive un moment où des choix sont nécessaires et il est vain d’imaginer un panorama vierge de toutes machineries sans renoncer à certaines facilités !
# Le 23 septembre 2020 à 14:33, par Céline
Merci à Pascale des Mazery pour le lien.
Effectivement, les bonnes intentions ne sont pas sans conséquences pour le paysage... Gloups !
# Le 23 septembre 2020 à 14:42, par vincent
Entièrement d’accord avec vous Iconoclaste, sur la nécessité de frugalité énergétique. Je souscris à cette forme de décroissance choisie (avant qu’elle ne nous soit imposée par l’implosion du système de cette folle course en avant).
Malheureusement ce n’est pas le « greenwashing » envisagé par nos politiques de presque tous bords qui y conduira. Sans vouloir dire qu’il faut s’y résoudre, il faut donc s’attendre à ce que la planète consomme encore et encore.
Je ne connais pas comment l’électricité produite par ce site d’éoliennes offshore serait réintroduit dans le réseau (en gros produire « pour qui et pour quoi » ?). Pour moi, ce qui ferait du sens aujourd’hui – comme dans l’agriculture ou l’élevage ou d’autres forme d’artisanats – c’est le « circuit court ». Produire pour consommer sur place.
On ne regarderait peut-être pas du même Å“il un parc éolien offshore (certainement la « moins pire » des solutions, malgré toutes ses imperfections de transport d’électricité, de stockage ou d’entretien liées à l’éloignement en mer) s’il permettait une autonomie énergétique des Îles du Morbihan par exemple… et qui plus est si la gestion en était participative…
Peut-être aussi pour chaque projet devrait-on proposer aux territoires d’être alimentés soit en énergie éolienne avec vue sur parc, soit en énergie nucléaire avec une petite poubelle locale de déchets hautement radioactifs (plutôt qu’une grosse poubelle souterraine nationale à Bure dans la Meuse). A chacun ses étrons finalement.
C’est (quasiment) du second degré ;)
# Le 23 septembre 2020 à 21:38, par DANIEL
A ce que j’ai compris 4 sites d’implantation (nord, sud, est, ouest) sont possible et ont un impact très différent depuis Groix (sauf erreur le Nord est le plus impactant car le "plus proche"). Sauf que ce qui est modéré pour Groix est impactant pour Belle Ile et réciproquement....
Dans tous les cas le débat est pertinent et les informations mises à disposition abondantes, j’espère que les uns et les autres (dont je fais parti) prendront le temps de les lire et de les recouper avant "d’allumer le feu"