Le FIFIG, ses difficultés et ses combats.
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Parmi les discours inéluctables d’ouverture, ceux des vrais engagés dans la survie du Festival ont tenté d’attirer l’attention sur ses difficultés propres alors que les discours d’une partie des responsables de cette situation nous parlaient du soleil qui se levait sur la cérémonie et très brièvement qu’il fallait s’attendre à ce que la culture continue à payer les erreurs de nos dirigeants (bon, ils ne l’ont pas dit comme ça, mais je traduis...).
Pour relativiser ces difficultés Christophe Dromery, co-président, a rappelé qu’il ne pouvait y avoir d’édition de ce Festival sans qu’il y soit évoqué les situations dramatiques subies par certains peuples. Cette année encore, nous compatissons aux drames atroces vécus par les Palestiniens, isolés dans leur ile de malheur.
Tous les engagés dans cette édition, qu’ils le soient temporairement ou à l’année, depuis peu ou depuis 2001, ne risquent pas de les oublier. Cela doit sans doute tenir à notre ADN commun, celui de la solidarité.
Crédit Photo : Ouest France
Vos commentaires
# Le 21 août à 15:16, par Anita
Commentaire du candidat d’extrême droite à la cérémonie d’ouverture du FIFIG :
L’hôpital qui se fout de la charité ! à rire, comme on dit chez nous. (Merci Lili)
" l’île de Groix ????? est trop souvent associée à un certain courant politique, ce qui finit par exclure une partie de la population qui préférerait des options neutres ou d’autres points de vue. Cette orientation se retrouve non seulement dans les médias locaux ( journaux, radio, blog…) mais aussi dans certains événements culturels ou d’autres manifestations de l’île, et même certains commerces qui affichent leur idéologie.
À mon avis, cette politisation constante est préjudiciable à Groix, car elle limite l’ouverture, la diversité des participants et l’attrait des événements pour l’ensemble de la population. La neutralité devrait être un objectif pour rassembler et valoriser la culture locale, plutôt que de la rendre exclusive."
# Le 21 août à 17:25, par Vincent
Après l’avis éclairé du cosmossaucissonnosophe, après l’avis pénétrant de l’ « essayiste » (comme Môssieur se définit sur sa page fb), nous avons ici toute l’expertise de l’homme (qui s’aimerait) public, rompu à un « irrécusable » exercice de la politique, puisqu’on ne peut pas débattre avec lui (sinon blacklisté), puisqu’on se doit d’être d’abord à sa hauteur (il est « au-dessus des autres »), puisqu’on a des « croyances fausses » (tous ses contradicteurs, mais pas lui, qui a du être choisi par Dieu), et puisqu’on devrait gober sans moufter sa mésinformation (incompétence) et sa désinformation (manipulation).
Allez, juste pour respirer un peu, parce que c’est pas tous les jours : de son mentor Eric-HPI-Z sur Cnews « Le vert des Verts (écolos) correspond, comme par hasard, au vert de l’Islam ».
Puisqu’on vous le dit qu’on n’est pas à la hauteur....