L’association a été créée fin juillet 2005 par le collectif qui s’est formé spontanément à la suite de l’annonce du projet CIMARMOR.
L’émoi provoqué par l’annonce du projet CIMARMOR a déclenché une première pétition qui demandait une réunion publique d’information sur ce sujet et la création spontanée d’un collectif.
Devant l’absence de réponse à nos questions lors de cette réunion, le collectif a décidé de se constituer en une association « Rade Environnement »
La culture du colza industriel sur les terres mises en jachère chaque année par les agriculteurs peut devenir un enjeu important pour la Bretagne. Non seulement par la production du diester, mais aussi par la capacité de la plante à pomper les nitrates du lisier de porc ou du fumier de volailles.
Cet oléoprotéagineux offre de multiples débouchés. Sa destination est d’abord alimentaire : ses graines, triturées dans des usines, sont transformées en huile pour la consommation humaine et en (…)
« Nous ne sommes pas là pour faire de l’opposition systématique, précise le président. Bien au contraire, nous croyons que la Rade a un bel avenir si elle est gérée dans une perspective de développement durable. C’est pour cela que nous agissons. » : http://rade.environnement.free.fr
Ouest-France 21/06/2006
Ce refus d’accorder un avis favorable est motivé par le non-respect par le collectif du délai de deux mois pour sa demande afin que l’administration puisse effectuer l’enquête réglementaire, et par le manque d’un certain nombre d’éléments dans le dossier. . Le Télégramme 12/03/2007 Eau et Rivières Belz Manifestation du 25 mars. Pour la manifestation du 25 mars à Kerhillio le groupe local d’Eau et Rivières prendra en charge le stationnement des véhicules sur les parkings. Un appel aux (…)
Le document d’objectif élaboré par Céline Lelièvre, préconise le fauchage et le gyrobroyage de la végétation existante, sur 50 ha à proximité du phare de Pen Men, afin de revitaliser la lande littorale qui menace de disparaître. Coût : 12.500 € dont 20 % pour la commune. Joël Tristant et Guy Tonnerre s’abstiennent.
Le Télégramme 13/12/2004
Demain matin, les élus de Cap l’Orient inaugurent les nouveaux aménagements de la Pointe de l’enfer réalisés pour maîtriser la fréquentation de cette zone sensible du littoral sud de l’île.
Le Télégramme 12/02/07
Le groupe Lafarge bient d’apporter des précisions sur son projet d’implantation au port du Rohu à Lorient.
Côté terre, il compte investir 4 M€ dans une unité industrielle qui recevra les sables, les criblera et les chargera sur des camions (...)
La suite :
Depuis quelques mois, un étrange manège oppose la préfecture, les élus, les associations de protection de l’environnement, les entreprises d’exploitation et les opérations de clapage. La zone disputée se situe entre Groix, Lorient, et Quiberon.
Du côté de la préfecture, il y a deux affaires différentes : la délivrance du permis exclusif de recherche (PER) dit « Sud-Lorient » et l’agrandissement de la zone Natura 2000 autour de Groix.
Ce n’est pas facile pour un élu de faire comprendre à un propriétaire de terrain à proximité d’un hameau, qu’il ne pourra jamais le vendre comme constructible. C’est pour donner des arguments « objectifs » que cette étude a été réalisée.
Yves Guégan Le Télégramme 20/07/2005